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Incendies d’ampleur, impacts du changement climatique, déforestation… La préoccupation des États pour la préservation des forêts s’intensifie. Reste que la volonté d’une gestion durable ne se traduit pas encore par les actes : Entre 2000 et 2017, le couvert forestier mondial a diminué de 8,4 %. Les experts appellent de leurs vœux l’organisation d’une gouvernance mondiale autour de ce bien si précieux.

L’EpE, sous la présidence de Jean-Dominique Sénard, entend responsabiliser les entreprises face aux enjeux environnementaux. Claire Tutenuit alerte sur l’urgence d’anticiper les risques liés au climat et à la biodiversité.

3 avril 2029. Alors que le ministre de l’Écologie s’apprête à prononcer un discours historique sur le recul des pesticides, ses conseillers lancent l’alerte :  des millions de micro-guêpes seraient responsables d’une baisse drastique de la biodiversité.

Elle revient sur le rapport dit « + 1,5 °C » et explique la nécessité de décloisonner les approches sur le changement climatique. Elle défend avec conviction que  « Chacun doit contribuer à sa juste part, sinon, nous courons à l’échec »…

La ligne directrice d’Alain Grandjean est claire : concilier la logique économique et les enjeux environnementaux et sociaux. Il répond à L’Actuariel et expose son projet « Libérer l’investissement vert »

Fin 2019, la mobilisation pour une agriculture bio s’emballe. Révoltées par l’inaction des gouvernements, les jeunes générations entament des grèves de la faim. En Europe, un plan de transition agroécologique est lancé. Dix ans plus tard, visite chez Lucile et Raphaël, qui cultivent pommes et courgettes…

L’économiste Patrick Artus entend se distinguer des prévisionnistes et s’affranchir des modèles. Il livre à l’actuariel son analyse des risques politiques, sociaux et, surtout, climatiques.

Chercheur en systématique, évolution et biodiversité, Pierre-Henri Gouyon explique les grands mécanismes de la biodiversité et alerte sur son actuel déclin.

Pour les scientifiques travaillant sur les risques systémiques, la pression des activités humaines sur tous les écosystèmes est désormais telle qu’un effondrement global menace nos sociétés. Une alerte que les économistes partisans de la croissance ignorent et que les défenseurs du progrès rejettent, au nom de l’inventivité humaine.

12 novembre 2049. Des rumeurs venant du siège de l’ONU indiquent que l’organisation s’apprêterait à interdire la pêche au niveau mondial. Retour sur les causes de l’effondrement des ressources halieutiques.

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