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Il existe différents critères et différentes méthodes pour juger du risque à moyen terme d’une banque. Certaines approches sur l’assurance peuvent même être transposées à la banque. Tour d’horizon.

L’économiste Patrick Artus entend se distinguer des prévisionnistes et s’affranchir des modèles. Il livre à l’actuariel son analyse des risques politiques, sociaux et, surtout, climatiques.

8 mars 2038. Les algorithmes d’intelligence artificielle évaluent les humains et dictent leurs vies. Intrinsèquement porteurs de biais culturels, ils reproduisent et accentuent les inégalités… de genre et même davantage.

L’approche permet de réviser, au fur et à mesure que de nouvelles observations arrivent, l’ajustement de Makeham ou encore d’un modèle de lissage semi-paramétrique tout en prenant en compte la bonne représentation  par âge des effectifs.

Chez un assureur, un cabinet de conseil et à présent un courtier… Depuis plus de vingt ans, Arnaud Corlouër exerce le métier d’actuaire. Une carrière sans cesse en train de se réinventer.

Et si les banques et les assurances s’appuyaient sur l’intelligence artificielle pour optimiser leur conformité ? L’Europe est en avance dans ce domaine, mais les solutions manquent de maturité. Les grands groupes s’y intéressent et le régulateur voit cette tendance d’un bon œil.

Les Français n’ont jamais été les champions des placements à risque et cette tendance à l’épargne de précaution s’est encore accrue récemment. Héritage culturel, facteurs institutionnels, raisons purement économiques… Les explications ne manquent pas, les paradoxes non plus.

Magali Reghezza-Zitt explique l’évolution de la notion de « catastrophe naturelle », l’émergence de la « vulnérabilité » dans le champ du risque et l’attention récente portée à la résilience.

Quels défis attendant les actuaires d’aujourd’hui ? Quels sont les atouts pour les relever ?

La fixation des taux d’intérêt long terme est un enjeu crucial pour l’évaluation de politiques économiques qui impliquent des flux financiers à des horizons lointains (vingt ans et plus). Elle utilise comme référence académique la théorie de l’équilibre général. Cette note a pour but d’attirer l’attention sur certaines hypothèses simplificatrices de cette théorie et propose une piste d’amélioration qui utilise les utilités progressives.

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