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Auteur, avec Jean-Hervé Lorenzi, du livre L’Avenir de notre liberté. Faut-il démanteler Google… et quelques autres ?, Mickaël Berrebi, appelle le politique à reprendre la main sur les « prophètes technologiques ».

Issu de l’École normale supérieure, Pierre-Henri Floquet se distingue par un parcours atypique dans le monde de la finance, un secteur où il aimerait d’ailleurs développer l’actuariat.

À l’heure où la violence des ouragans américains alerte régulièrement l’opinion internationale, un produit financier parimutuel propose une couverture assurantielle alternative. Solution novatrice ou fausse bonne idée ?

Bousculant le principe de la mutualisation, de nouveaux produits apparaissent pour répondre à des demandes toujours plus précises, toujours plus individuelles. Si l’heure est davantage à l’intention qu’au modèle, de nombreux acteurs semblent se préparer à cette révolution.

Nous sortons de l’âge du capitalisme pour entrer dans l’ère de la connaissance. Avec comme conséquence la mort de la finance et l’avènement de la data. L’impact est sans précédent sur le modèle de rentabilité des assureurs. Les actuaires doivent devenir « insurance data scientists » pour maximiser leur pertinence dans cet écosystème renouvelé.

Le 25 mai, le règlement européen sur la protection des données personnelles est entré en vigueur. Un bouleversement pour les entreprises et les institutions, qui doivent repenser leur gouvernance. Mais également un moyen politique pour l’Union européenne de prendre le leadership international sur la question.

La génération de scénarios économiques constitue une étape indispensable dans la modélisation des revalorisations futures pour les garanties de type épargne et retraite.

Le paysage s’est radicalement transformé au cours de la dernière décennie. Les multiples mutuelles professionnelles, de niche affinitaire ou encore locales, sont désormais largement devancées par la fusion des plus grandes. Pour quel service ?  Et à quel prix pour les adhérents ? Aperçu d’un secteur qui bouge.

La concentration importante qu’a connue (ou subie) l’industrie de l’assurance au cours des dernières années n’a-t-elle pas poussé la mutualisation à ses limites, et les assureurs, dans la recherche illusoire d’une taille sans cesse accrue, n’ont-ils pas perdu une base essentielle de leur métier : la mutualisation des risques ?

Actuaire certifiée IA, Charlotte Couailler vit la révolution des assurtechs de l’intérieur. Boulimique de travail et de découvertes, elle renonce au confort des grands acteurs pour la start-up Leocare.

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