L'actuariel // Magazine N°33

La demande d’assurance reste toujours simple à justifier :  face au risque, chercher une couverture. Loin d’être aussi simple ! Il s’agit de faire face à un dilemme : prendre le risque de se faire confiance ou prendre le risque de faire confiance à autrui.

L’utilisation des captives d’assurance et de réassurance 1 ne date pas d’hier mais des années 1970. Historiquement, les captives ont été notamment créées et utilisées par des corporates pour arbitrer le marché de l’assurance lorsqu’il était en cycle haussier ou « hard market ».

« Je n’aimerais pas faire ton boulot ! », lui dit-on parfois. Lui, si. Il aime les maths, passionnément. La réassurance et l’international aussi. Alors être Group Chief Actuary d’un leader mondial… Quoi d’autre ?

L’EpE, sous la présidence de Jean-Dominique Sénard, entend responsabiliser les entreprises face aux enjeux environnementaux. Claire Tutenuit alerte sur l’urgence d’anticiper les risques liés au climat et à la biodiversité.

Résoudre tous les dysfonctionnements des villes grâce au numérique, c’est la promesse de la smart city. Cet idéal pose pourtant une multitude de questions technologiques, mais aussi démocratiques.

Branko Milanovic met en lumière les défis politiques de nos sociétés à travers l’analyse des inégalités mondiales et un mode de lecture novateur.

Le pétrole, ressource par définition non renouvelable, s’épuise. Au-delà des questions sur l’échéance et les modalités de la rupture, les enjeux environnementaux et économiques s’invitent et s’imposent comme autant de défis.

L’assurance à la demande, qui permet de couvrir les objets pour un usage ponctuel depuis une application mobile, est apparue en France en 2018. Une offre qui interroge les méthodes actuarielles habituelles, voire même le business model de l’assurance.

3 avril 2029. Alors que le ministre de l’Écologie s’apprête à prononcer un discours historique sur le recul des pesticides, ses conseillers lancent l’alerte :  des millions de micro-guêpes seraient responsables d’une baisse drastique de la biodiversité.

Si chaque pays européen demeure souverain dans le choix de sa politique énergétique, dans les faits, techniquement, la constitution du réseau permettant un mécanisme de couplage et d’ajustement les rends très interdépendants les uns des autres, bien au-delà de l’Europe…

Se connecter